dimanche 20 juin 2010

Verbindung zwischen Unterricht und Aufenthalt vor Ort


Im Juni 2010 ist die Europäische Klasse (8. Kl.) nach Österreich gereist, um die Sehenswürdigkeiten von Hallstatt und seiner Umgebung zu entdecken.

Auf der Landschaftskarte unten kann man sehen, in welchen Alpen der Dachstein liegt.


Unsere Herberge war sehr freundlich und wir konnten jeden Tag neue Besichtigungen oder Wanderungen machen. Das Wetter war schön und wir hatten ein anderes Programm jeden Tag. Während dieser Reise hatten wir viele Gesehen und gelernt wie eine herrliche Eishöhle, die Art , mit der man Salz extrahiert, die (manchmal sehr besondere) Kultur von Hallstatt,...



Schließlich konnten wir die Verbindung zwischen dem, was wir in dem Schuljahr in der Klasse gelernt haben, und der Wirklichkeit herstellen.

Eulalie M.

samedi 19 juin 2010

Besichtigung von zwei Höhlen

Für diesen Besuch am zweiten Tag der Woche sind wir mit der Seilbahn hinaufgefahren, dann sind wir bis zum Eingang der ersten Höhle gelaufen. Barbara, unsere Führerin, hat uns den ganzen Tag begleitet und alles auf Französisch erklärt. In diesem Massiv gibt es:
-eine Eishöhle und
-eine Mammuthöhle.

Die Eishöhle wurde durch das Wasser gebildet, das an der Oberfläche durch die Spalten und Fugen in die Höhle sickert. Weil es drin sehr kalt ist, gefriert das Wasser. Die Eishöhle enthält im ersten Teil sehr kleine Stalaktiten und Stalagmiten.



In der zweiten Höhle, der Mammuthöhle, kann man Flüssigkeiten auf den Wänden sehen: eine weiße Flüssigkeit und eine rote. Sie bilden Formen, jeder darf sehen, was er will. Die Höhle heißt so, weil sie enorm ist.
In dieser Höhle ist die Luft sehr rein und man kann Wasser trinken, denn es gibt keine Umweltverschmutzung. In beiden Höhlen herrscht eine relative Kälte: in der Eishöhle gibt es um -1°C und in der Mammuthöhle sind etwa 3-4°C Wärme.

Célia J.

Eishöhlen in Europa (Quelle Wikipedia)
Österreich zählt 5 Eishöhlen. Sonst gibt es noch 6 andere in Europa.
die Dachstein-Rieseneishöhle im Dachsteingebirge, Österreich
die Eisriesenwelt bei Werfen, Österreich mit 42 Kilometern Länge
die Hundalm-Eishöhle bei Angerberg, Österreich
das Schwarzmooskogel-Höhlensystem in Österreich
die Hendrikhöhle in Schwarzach, Österreich

die Schellenberger Eishöhle bei Marktschellenberg, Deutschland
die Glacière de Montlési und weitere Eishöhlen im Schweizer Jura
die Dobschauer Eishöhle (Dobšinská ľadová jaskyňa) bei Dobšiná, Slowakei
die Demänováer Eishöhle (Demänovská ľadová jaskyňa) in der Niederen Tatra, Slowakei
die Kungurer Eishöhle bei Kungur, Russland
die Ledová jeskyně Naděje Eishöhle Hoffnung im Lausitzer Gebirge, Tschechien

vendredi 18 juin 2010

Histoire des arts sur le trajet : « Mozart und Teutschland »

Le dernier cours « histoire de l’art » de la 4ème SE eut également lieu dans le bus puisque les élèves allaient passer de Bavière en terres salzbourgeoises sans probablement sans rendre compte. Le thème fut le primat de l’italien en opéra, Mozart et la langue allemande. Les traces écrites et le rebrassage a été fait pendant le premier cours qui suivit le voyage.

Le sujet aboutit obligatoirement à la définition du mot « deutsch » et à l’identité de Mozart. Le côté paternel est bavarois (Augsbourg). La mère est du pays de Salzbourg, une terre dont la langue est également bavaroise. Mais, de son vivant, l’archevêché de Salzbourg est indépendant, il n’appartient pas à l’Autriche. En fait, Mozart sera mort depuis longtemps quand Salzbourg passera en Autriche. (Cf. carte ci-dessous où le Pays de Salzbourg est en couleur lila au sud-est de la Bavière).
Tous les Etats concernés sont une partie du Saint Empire romain germanique. La langue parlée n’était pas un critère d’appartenance à une nation, mais à une culture et à un peuple. Un peu comme en Suisse aujourd’hui où on est Suisse que l’on parle italien, alémanique ou romand. « Deutschland » est la zone où l’on parle une langue allemande. On se sent d’abord saxon, bavarois, thuringien. La boutade fréquente en Autriche sur ce sujet est de dire que « les Autrichiens ont réussi à faire croire qu’Hitler était Allemand et Mozart Autrichien ».

Le débat est donc stérile car les Etats dont on parle n’existaient tels quels pas du vivant de Mozart. Mais en revanche, le concept de « Deutschland » était bien vivant. Il ne faut pas faire l’histoire à reculons. C’est la même chose que pour un sujet du prince-évêque de Strasbourg au XVIème siècle qui, de son vivant, ne peut pas se douter que le pays germanophone où il vit, passera en France un siècle et demi plus tard ou en Allemagne s’il est né dans la partie transrhénane de l’évêché de Strasbourg. Ce qui compte c’est ce que lui-même ressentait et de bien définir les concepts qu’il utilisait pour parler de son appartenance politico-culturelle.
Mozart montrera son lieu de naissance à sa femme en précisant ceci à son père : « j’espère qu’il est inutile de Vous rappeler que Salzbourg et encore plus l’archevêque m’indiffèrent totalement et que j’emmerde les deux, et que, ma vie durant, il ne me serait jamais venu à l’idée de faire exprès un voyage à Salzbourg si Vous et ma sœur n’y viviez pas ».


Salzbourg qui exploite aujourd’hui l’image de Mozart d’un point de vue touristique fut pour le compositeur l’antithèse de la liberté de création, l’oppression de l’inventivité artistique et le symbole d’un système politique archaïque et absolutiste. Mozart est jeune, attiré par les idées révolutionnaires françaises et franc-maçonniques. Il n’apprécierait pas forcément la récupération de son nom par la ville d’aujourd’hui vu son expression « ich scheiße auf beides ».
Cela se passera mal à Vienne également. La ville, contrairement à Prague rebelle, suit docilement les goûts impériaux et laisse les Italiens dominer le monde musical, en particulier l’opéra. L’empereur Joseph II sera un temps bienveillant avec lui car les débuts des tensions interculturelles démarrent en terre cosmopolite d’Autriche. En 1782, Mozart put composer en allemand « L’enlèvement du sérail » où il introduira de nombreux effets scéniques inhabituels. Mais l’empereur n’avait pas les mains aussi libres que cela. Ou il manqua de courage politique suivant les perspectives.


Mozart écrit un jour : „Will mich Teutschland, mein geliebtes Vaterland, worauf ich, wie Sie wissen, stolz bin, nicht aufnehmen, so muss in Gottes Namen Frankreich oder England wieder um einen geschickten Teutschen mehr reich werden, und das zur Schande der deutschen Nation“. (Si l’Allemagne, ma patrie bienaimée dont, comme Vous le savez, je suis fier, ne veut pas m’accueillir, alors il faudra bien par la volonté de notre Seigneur que la France ou l’Angleterre s’enrichissent une fois de plus d’un Allemand doué, et ceci à la honte de la Nation allemande »)


Quand Mozart dit « Allemagne », il pense ici sans équivoque à l’empereur et à Vienne sa capitale ! Si on lit ce texte avec l’oreille d’aujourd’hui et le sens de la langue actuel, on reconnaît des mots que l’on a évité de prononcer après 1945, voire même après la réunification de 1990. Tout le monde aura remarqué que le mot « Autriche » n’apparaît nulle part.Il est inutile
de rappeler que l’empereur est toujours nommé à cette époque « der deutsche Kaiser » car après la scission entre les deux gros protagonistes Prusse et Autriche, c’est l’Autriche qui perpétua la tradition de l’empire électif. Avant la dissolution du Saint Empire en 1806, le souverain d’Autriche (qui n'est qu'un archiduché et donc une partie de l'Empire et non sa tête ) est toujours l’empereur des Allemands.


Pour s’en convaincre, il suffit de lire une lettre de Maria-Theresa (impératrice d’Autriche) écrite à sa fille Marie de Naples en avril 1768 : « N’oublie jamais que tu es née Allemande et efforce-toi de maintenir les bonnes qualités qui caractérisent notre peuple. Dans ton cœur et par ta droiture, demeure à jamais une Allemande ».


A Marie-Antoinette, reine de France, la même impératrice écrit en 1770 : « Crois-moi : le Français t’estimera bien plus et aura une meilleure opinion de toi s’il voit en voit en toi la fermeté et la franchise allemandes. N’aie pas honte d’être une Allemande.»
Tout le monde aura reconnu l’opposition entre « eine Deutsche sein » de la lettre de l’impératrice et le surnom que donnent les Français à cette reine « l’Autrichienne ». C’est comme si une cour allemande surnommait une princesse française de la maison des Rohan « la Bretonne », et non « la Française ».


Il n’empêche que Mozart dans sa lettre du 18 août 1782 met sur le même plan d’égalité « Frankreich, England, Teutschland ». Le dernier est donc pour lui quelque chose d’identifiable. Vu les mentalités de l’époque, il ne fait aucun doute qu’il pense à l’Empire où la « nation allemande » forme le cœur du pays. La présence d’autres langues et cultures sur ce grand territoire n’y change rien du tout. Le mot « deutsche Nation » est à prendre au sens latin : naître en terres allemandes et acquérir l’esprit et la culture qu’on y reçoit.


En disant « Les Italiens dominent l’opéra à l’époque de Mozart », on a exactement la même démarche. Les Italiens, au sens de citoyens de l’Italie, n’existent pas à cette époque. La création de l’Italie moderne ne se fera qu’au XIXème siècle. Quand à Vienne, on dit à cette époque les Italiens, on fait référence aux gens de langue italienne, et à tout ce qu’il y a derrière (mentalité, réflexes, etc). C’était très fréquent à l’époque. Il y a encore des restes de cette manière de penser quand on dit aujourd’hui « un Lorrain » ou « un Alsacien » ou encore « le Breton » pour sans cesse rappeler qu’il n’est pas du coin et qu’on sent quelque part une différence.
Pour aider les Français, il faudrait supprimer le mot « allemand » du langage courant. Ce mot a remplacé le terme ancien « tudesque » qui est la forme romane exacte de « deutsch » comme on le trouve encore en italien « tedesco ». Avec les événements récents, ce terme « allemand » a pris un sens tellement particulier qu’on arrive plus à s’en sortir de manière objective. Le « Teutschland » de Mozart est mot à mot le pays tudesque. Pour certains, on ne pourrait même pas dire « le pays de langue allemande » car l’allemand est pour eux seulement la langue parlée en Allemagne actuelle. Et poutant, dans le langage courant, avant les événements dramatiques des deux guerres mondiales, quand un Lorrain romanophone disait « L’Allemagne » ou « un Allemand » ou « Ollemand » il désignait une partie du duché de Lorraine aujourd’hui majoritairement en Moselle et l’Alsace voisine.


Tous parlaient en réalité comme Mozart : non en termes de nationalité (cela n’existait pas encore), mais en termes de nation et de tendance culturelle. Le XIXème siècle balaiera cette mentalité.

Histoire des arts sur le trajet : le bulbe et le clocheton

Savoir se situer grâce au bâti

Nombreux élèves ont réagi à deux des interventions du professeur pendant le trajet en bus vers la Haute Autriche : celle sur le toit en bulbe des églises en Bavière et le clocheton domestique au pays de Salzbourg . L’objectif était de faire de l’histoire de l’art spontanée en laissant les élèves vérifier sur le terrain que cela est bien une réalité de l’identité locale.




Et, effectivement, une fois lancée l’idée qu’on peut savoir qu’on se trouve en Bavière en regardant soit les maisons, soit les clochers des églises, on entendit plusieurs fois les élèves s’exclamer qu’ils avaient encore vu un « Zwiebeldach ».

De fait, la concentration des toits en bulbe visibles depuis l’autoroute sur le tronçon bavarois est plus importante qu’ailleurs. On les associe volontiers aux églises catholiques, essentiellement de l’époque baroque et de la Contre-réforme. C’est pour cette raison qu’on rencontre le toit en bulbe dans les terres catholiques de l’Allemagne du Sud hors Wurtemberg, en Autriche et en terres slaves voisines.




L’autre indice géographique appris fut le clocheton sur le toit des fermes. Il est caractéristique du bas-pays du Tyrol et du pays de Salzbourg. Nous traversions le second.




On sonnait la cloche pour signaler à tous ceux qui appartenaient à la ferme (parenté, employés) et qui seraient occupés aux alentours (champs, bois, terrain de jeu des enfants…) que c’est l’heure du repas ou qu’il est l’heure de rentrer. On utilisait aussi cette cloche en cas d’incendie, de maladie subite, d’incident ou toute autre situation d’urgence. Bien que l’habitat fût très dispersé il y a encore 100 ans, il fallait reconnaître quelle cloche de quelle maison sonnait. Donc chaque cloche avait un timbre particulier. Pour le repas, on reconnaissait le rythme régulier et calme, opposé au rythme perturbé des situations d’urgence.

jeudi 17 juin 2010

Descente en Go-kart - Gosausee



La matinée du 3ème jour, nous avons quitté l’auberge de jeunesse en bus pour découvrir la fameuse surprise que M.CURIN et Mme SUHR nous préparaient…
Tout comme les autres jours, le soleil était au rendez-vous ! Nous arrivons à l’entrée d’un téléphérique avec un bâtiment qui proposait une activité nommée « GO KART » Il s’agit d’une sorte de kart sans moteur (ni pédales) avec des freins spécialement conçus par l’inventeur. Nous prenons « les œufs » qui nous mènent au sommet de la montagne.
A 11h, nous testons nos karts en dévalant la pente de la montagne pendant 7 km ! Nous avons surtout apprécié la vitesse de cet engin que nous ne connaissions pas, son originalité et le parcours qui offrait une superbe vue sur le massif, même si certains sont passés trop vite pour s’en apercevoir !! Ce fut une belle expérience pour tous.

Vers 11h30, nous reprenons le car pour nous rendre au Gosausee pour pique-niquer et faire une marche autour de ce lac. A l’arrière plan, nous voyions le Dachstein, la plus haute montagne du massif. Certains ont fait une trempette dans le lac : l’eau était très froide !
En faisant cette balade (trop longue pour certains !), la classe a découvert « en nature » les cours de section-européenne :
Nous avons repéré les différentes parties qui composent la montagne, repéré les moraines et les traces laissées par les glaciers. Là, le paysage était magnifique !


Marie H.

Vidéo présentant le Go-kart utilisé par la classe

Journée thématique n°1 : der Dachstein

Le premier matin, nous nous réveillâmes à 7h; nous mangeâmes à 7h30, puis nous partîmes en bus à 8h30. Le chauffeur de bus nous emmena au téléphérique menant aux grottes. Nous prîmes donc le téléphérique du Krippenstein et montâmes jusqu’à une première station, d’où nous marchâmes jusqu’à l’entrée de la première grotte: Rieseneishöhle. Nous visitâmes cette grotte, explorée pour la première fois en 1910, en moins d'une heure. Nous avons marché pendant quelques minutes avant d'arriver dans une vaste salle où le guide nous donna des explications. Des projecteurs


projetèrent ensuite de pittoresques images d'ours sur quelques roches. Puis nous arrivâmes dans la seconde partie, la plus intéressante car unique, la grotte de glace.

Puis nous sortîmes de la grotte pour faire une pose d’une demi-heure environ. Ensuite, nous nous dirigeâmes vers la seconde grotte, la « Grotte du Mammouth ». On l’appelle ainsi car c’est une grande grotte. Celle-ci était totalement inintéressante, c’était plutôt une balade sous la terre. Elle n’avait pas de spécificité naturelle. Ce sont des étudiants qui l’on embellie en faisant des jeux d’ombre.

Après être sortis de cette grotte, nous prîmes le téléphérique pour monter encore plus haut (en face du Dachstein, station du Krippenstein). Là nous marchâmes jusqu’à un endroit où nous pouvions manger. Après cette pose du midi, la guide (Barbara), nous raconta l’origine des montagnes, des fossiles et des lacs qui se trouvaient tout autour de nous. C’était relativement intéressant. Ensuite nous fîmes des aller-retour entre plusieurs points de vue. Puis nous fîmes une courte randonnée,sur le sentier dit du karst, je dis courte car elle fut fnialement « avortée » par monsieur Curin qui décida qu’il y avait trop de neige. Quelle bienveillance envers ceux qui n’avaient pas de bonnes chaussures !
Nous rentrâmes donc, à l’auberge de jeunesse où nous séjournions, pour nous laver et nous changer. Nous mangeâmes à 18h, puis nous eûmes une petite réunion dans une salle pour faire le bilan de cette première journée. Nous eûmes ensuite un peu près deux heures pour nous amuser avant de nous coucher.
Ce fut une bonne journée.


Pour de plus amples informations sur les grottes et les sites: consulter cette page
Benjamin H.

Schifffahrt auf Hallstättersee

Am Montag, dem 7. Juni 2010, nachdem wir in Hallstatt angekommen sind, haben wir eine Rundfahrt mit dem Boot auf dem Hallstätter See gemacht. Das ist ein sehr großer See mit einer Fläche von 8,55 km². Wir sind eine Runde gefahren. Der Kapitän des Schiffes hat uns sogar Twix-Riegel geschenkt.
Romane V.

Une promenade en cercle restreint !

Pendant notre voyage en Autriche, un soir en rentrant d'une visite de la ville d'Hallstatt, monsieur Curin et madame Suhr ont proposé à la classe de faire une petite promenade où l'on verrait une cascade. Ils voulaient savoir si cette promenade serait envisageable avec les groupes suivants qui feraient le même voyage que nous.

L'enthousiasme ne fut pas au rendez-vous. En tout, nous étions 7:
Marie, Benjamin, Bruno, Philippe, Madame Suhr, Monsieur Curin et moi.

Nous avons monté une pente assez raide pendant 25 minutes alors que le panneau indicateur en avait prévu deux fois plus. Arrivée en haut, j'était épuisée et à ma déception, il n'y avait pas d'eau. La cascade était là, mais l'eau non.

Par contre nous avions une superbe vue d'une vallée en auge
dont nous profitions en nous asseyant sur un banc, pour un peu de repos bien mérité!
. De là, nous pouvions aussi voir notre augerge de jeunnese. je trouve que cette promenade bien qu'un peu dure était très belle. Nous avons vu des paysages vraiment beaux durant notre voyage et je trouve que c'est une grande chance d'être allé en Autriche.

Cécile R.

Die Lehrer, Die Führerin und der Fahrer

Die Zwei Lehrer haben uns nach Österreich begleitet. Sie mussten sehr motiviert gewesen sein, um 20 nicht immer disziplinierte Schüler mitzunehmen und mit ihnen 5 Tage lang zu leben.

Die Reise war sehr gut organisiert; alles war genau geplant, sogar die Sonne. Die Lehrer kamen immer sehr pünktlich zum Früstück und abends, spielten sogar Uno, Basketball oder Völkerball mit uns, obwohl sie nie gewonnen haben.

Im Bus oder zu Fuß hat Herr Curin uns immer alles erklärt. Die Informationen waren kulturell und persönlich aufschlussreich.
Ich muss sagen, dass beide Lehrer immer für uns da waren und sie bemühten sich so, dass wir eine tolle Reise hatten.

Der Fahrer war sympatisch, obwohl er nicht viel sprach. Er hat uns überall begleitet und war gar nicht anspruchsvoll; zum Beispiel hat er nur eine sehr kleine Moralpredigt über die Sauberkeit im Bus gehalten. Er wusste bestimmt auf ersten Blick, dass wir respektvolle Schüler sind.

Als wir in Hallstatt ankamen, wurde uns die Führerin vorgestellt; sie konnte sehr gut Französich sprechen und wir waren ihr dankbar: wir hatten nämlich einige Probleme mit dem österreichischen Akzent. Sie erklärte uns, dass sie französische Freunde hat und deswegen fühlt sie sich so wohl mit dieser Fremdsprache.

Zum Schluss habe ich bemerk,t dass die Erwachsenen gern wandern und die Berge hinauf dann wieder hinunterlaufen, sogar im Schnee mit kalten, nassen Füssen....; das ist ihnen egal; sie blieben trotzdem gut gelaunt: ein Beispiel für uns alle, vor allem, mich.

Pierre H.-A.

mercredi 16 juin 2010

Notre hébergement: réactions et impressions

Une des conditions pour un super séjour comme le nôtre, c'est d'avoir eu le confort dont
nous avons profité. En effet, douche et toilettes dans la chambre, que rêver de mieux!!
Je pense que le plus embêtant pour les élèves était de faire leurs lits. En ce qui me concerne,
après avoir aidé plus de trois de mes camarades à faire leurs lits, je n'arrivais même plus à
faire le mien...

Sinon les lits étaient fort confortables, les douches étaient dignes d'un bon hôtel, tout était
propre, je regrette juste le fait d'avoir croisé quelques araignées. Notre espace se délimitait
sur 3 étages: celui des chambres, celui du réfectoire et celui des loisirs.
A l'arrière de l'auberge, il y avait un cours d'eau, sympa mais pas très pratique lorsque l'on
joue au foot à côté...

A l'étage des loisirs se trouvaient des jeux tels que des flippers, des jeux vidéo de course, des
babyfoots et la bien-aimée salle avec la table de ping-pong (toujours aussi bien remplie d'araignées...).

Il y avait également une salle où l'on déposait nos chaussures en arrivant. L’obligation du port des chaussons vaut pour tous les étages. A l'étage des chambres, c'était sympa le soir de profiter des tables et des banquettes pour discuter et jouer au UNO ® . Le seul problème était les jeunes femmes allemandes ou autrichiennes, qui pensaient plus à faire la fête le soir qu'à dormir.
Je pense qu'une des meilleures choses dans ce séjour était réellement cette notion de confort que l'on avait dans cette auberge.


Camille K.

mardi 15 juin 2010

Félicitations de nos hôtes - Image des scolaires

Le juste retour des efforts réalisés

Les deux professeurs accompagnateurs du voyage à Hallstatt espèrent que la classe de 4ème SE aura finalement reconnu que leurs consignes et leurs recommandations ont servi à donner d'elle-même une image positive vers l'extérieur.

Vu de l'intérieur, les élèves pourraient en effet penser qu'il s'agit uniquement de les empêcher de faire des bêtises. C'est une vision trop restreinte. En réalité, nous sommes ravis qu'ils aient joué le jeu et qu'ils aient récolté les compliments de nombreuses parties.

C'est le cas de la directrice de l'auberge qui a félicité la classe pour son attitude pour toute la semaine dans les salles communes, les couloirs et le matin du départ vers 5h30 où on eut l'impression que personne ne quittait les lieux.

C'est le cas de la guide de montagne, Barbara, qui a été impressionnée par l'écoute et l'attention des élèves. C'est aussi le cas de la guide de la mine de sel qui a tenu à faire quelques cadeaux avant que nous partions. Là aussi, on reconnut la discipline, l'écoute et la cohésion. Une famille austriaco-américaine est venue également voir les professeurs pour les féliciter de la tenue de leur groupe qui faisait la visite en même temps qu'elle. La veille, elle avait rencontré des groupes scolaires bruyants, instables et peu respectueux dans les grottes. Nous avons aussi eu un geste du capitaine du bâteau sur le lac qui a distribué des barres TWIX® à chaque élève.

Les groupes scolaires, il faut l'avouer objectivement, ne sont plus très appréciés sur les sites touristiques. Ils rapportent moins au niveau des tarifs et ils perturbent par leur comportement désordonné. Ils renvoient une image de jeunesse mal élevée, peu motivée et bruyante. Parfois, le simple fait d'arriver avec des scolaires provoquent des réactions inattendues chez les adultes autour.
Alors évidemment, les Autrichiens nous ont demandé si c'était tout le temps comme cela en France! Chacun donnera la réponse.

Donc il faut féliciter le groupe de cette année d'avoir respecté le leitmotiv du voyage: "soyons un groupe discret et on nous le rendra". Nous pensons que les réactions spontanées de toutes les personnes citées démontrent bien que l'on est l'acteur de l'image qu'on veut bien donner et que les professeurs ont su donner l'impulsion qu'il fallait pour que les élèves en tirent un enseignement utile pour l'avenir.

Evidemment, pour en arriver à ce bon résultat, il a bien fallu que les professeurs aient aussi le mauvais rôle de veiller au grain et de récolter de temps en temps le trop plein d'énergie de certains. On n'a rien sans rien, semble-t-il!

Mahlzeiten im JUTEL Obertraun

Gut organisierte Mahlzeiten




Wir frühstückten jeden Tag um 7:30 Uhr, aßen nie zu Mittag im Jutel und hatten das Abendessen jeden Tag um 18:00 Uhr.

Zum Frühstück konnten wir uns direkt am Büffet bedienen. Es gab leckere Cornflakes, Müsli, Pudding, Brot und Honig; natürlich auch Käse, Schinken und Wurstsortiment, aber auch Quark, Joghurt, Gurke und Tomate. Ich entdeckte auch Kerne: Sonnenblumenkerne, Kürbiskerne und Leinsamen. Wir konnten Kaffee, Milch oder Tee trinken.

Nach dem Frühstück haben wir uns das Lunchpaket für das Mittagsessen vorbereitet: in der Regel bestand es immer aus Wurst und Käse mit Brötchen, und dazu ein Schokoriegel und Obst.

Die Köchinnen vom Jutel haben uns jeden Abend ein Büffet vorbereitet.
Als Vorspeise haben wir verschiedene Suppen essen können. Manchmal gab es Nudelsuppen oder Gemüsesuppen.
Dann konnten wir uns aus verschiedenen Schüsseln grünen Salat, Radieschen, Tomaten servieren. Die Salatsauce mussten wir selber darauf tun.
Als Hauptgericht gab es Schweinebraten, Schnitzel, Gulasch mit Nudeln, Püree oder Salzkartoffeln.
Als Nachspeise gab es Obst oder Kuchen und einmal Eis.
Nachdem wir gegessen hatten, sollten wir den Tisch abwischen und für den nächsten Morgen decken. Egal für welche Mahlzeiten sollten die Gruppen Besteck, Teller, Schüsseln und Gläser zum Spülen wie in unserer Kantine zurückbringen.

Flore G.

dimanche 6 juin 2010

La 4è SE part en Autriche !



Ca y est, le départ est pour lundi 7 juin à 6h30.





Ce sera pour Hallstatt-Dachstein, un des rares sites doubles patrimoines mondiaux de l'UNESCO (naturels et historiques).

La fibule est le symbole de notre voyage car nous partons sur les traces de l'âge de fer (entre 900 et 500 av. JC) qui a été justement nommé "période ou culture de Hallstatt" (I et II) en raison de sa position centrale dans l'aire d'extansion maximale de cette cutlure entre le Roussillon et l'Albanie en force de croissant, mais aussi parce qu'on y découvert des milliers de tombes sur un site en altitude près de mine de sel et de gisement de minerai de fer.
L'une des caractéristiques de cette culture hallstattienne est l'introduction de la fibule, donc une aiguille de sûreté, pour accrocher et fermer les tuniques.
Il s'agit également d'une période de transition entre l'armement en bronze et l'armement en fer. Elle correspond au passage entre les rites funéraires par incinération et par inhumation.

L'autre symbole de notre voyage sera le glacier et les phénomènes naturelles des Alpes calcaires et karstiques.

Malheureusement, la journée prévue sur le glacier et dans le palaisd e glace a été annulée par la société de téléphérique car il y a un incident la semaine dernière au moment de procéder au changement du câble porteur de la télécabine. Malgré l'intervention d'un hélicoptère d'une société spécialisée suisse, les conditions climatiques des derniers jours en altitude (2500-3000m) ont été si désastreuses qu'il n'a pas été possible de dégager l'engin tracteur du nouveau câble. Le téléphérique reprendra le service qu'à partir du 12 juin.

Voilà ce que l'on rate:

- Le Palais de Glace (http://www.derdachstein.at/dachstein/de/sommer/Eispalast.html )
- Le skywalk (http://www.derdachstein.at/ )

Sinon vous pouvez vous faire une idée de ce que nous visiterons :
- Mine de sel (http://www.salzwelten.at/ cliquer sur Hallstatt)
- Les grottes (http://www.dachsteinwelterbe.at/ cliquer sur Höhlenwelt, puis choisir la grotte)
- marche été sur glacier (http://www.ramsau.com/virtuelle_tour/ramsau_003.html )

En remplacement de la journée glacier, si le temps est de la partie, nous ferons la descente de la Hochwurzen sur 7 km en karts non motorisés (Gokart), la plus grande "Sommerrodelbahn der Welt" .

Un voyage dont me reparlent souvent les anciens, a priori il devrait plaire aux nouveaux!